Dans un contexte d’incertitude économique et de guerre tarifaire avec les États-Unis, on doit favoriser l’autonomie alimentaire. Je veux donner à tous les Montréalais·es la liberté de se procurer des aliments sains, abordables et locaux dans leur quartier. 

Multiplier les marchés publics à Montréal

Dans un contexte d’incertitude économique et de guerre tarifaire avec les États-Unis, on doit favoriser l’achat local. Je créerai de nouveaux marchés publics de grandes et petites tailles. 

Pour ce faire, je souhaite mettre en place un fond de démarrage de 150 000 $ pour les activités des nouveaux marchés publics dans les zones non-desservies, en plus d’offrir un soutien financier de 50 000 $ par année aux marchés publics.

Nos producteurs locaux et régionaux font notre fierté. Il est temps de leur offrir plus de marchés dans le plus grand nombre de quartiers.

Développer l’agriculture urbaine 

Je favoriserai la création de jardins communautaires et collectifs et de toits verts à Montréal. Je veux recréer une politique de terre agricole sur l’île de Montréal, adaptée à la réalité d’aujourd’hui.

Trop de Montréalais-es vivent encore dans un désert alimentaire. Il est temps que ça change, et que tout le monde ait accès à des aliments sains sans égard à leur origine, la taille de leur portefeuille et leur lieu de résidence.

Assurer le développement de l’agriculture urbaine en collaboration avec le Bureau de la transition écologique de la Ville de Montréal

L’agriculture urbaine ne doit plus être l’affaire de quelques terrains cultivés à Montréal, mais d’une véritable stratégie à grande échelle pour accélérer l’autonomie alimentaire de la métropole.

En collaboration avec les éco-quartiers et le Bureau de la transition écologique et de la résilience de la Ville de Montréal,  j’accélérerai et bonifierai la stratégie d’agriculture urbaine pour planifier la gestion de l'agriculture urbaine, ainsi que l’encadrement de la plantation, de la récolte et de la distribution des denrées

Décontaminer et cultiver des terrains

L’acquisition et la décontamination de plusieurs terrains, notamment dans l’Est de Montréal, permettront d’augmenter la superficie agricole sur l’île de Montréal.

Nous créerons de bons emplois dans le secteur agricole, nous améliorerons l’autonomie alimentaire de Montréal et nous n’ajouterons pas d’industrie lourde dans un secteur déjà très impacté par les activités industrielles.

Je veux donner à tous les Montréalais·es la liberté de se procurer des aliments sains, abordables et locaux dans leur quartier.